17 heures 34; Colle collective

Sirendele, toujours soupirant et l'air d'être passé sous au moins trois camions et un tractopelle, déambule à travers les couloir en quête de la salle de colle, qu'il commençait décidément à connaître par coeur. D'ailleurs tiens, deuxième note pour l'avenir : penser à y descendre un matelas, histoire de pouvoir y passer la nuit en cas de besoin.

Ah merde. Fermée.

Bah oui crétin tiens, c'est les profs qui ont les clés. T'as qu'à attendre devant, de toute façon l'autre imbécile là il doit pas être loin derrière...

Arrivé à cette saine conclusion, Sirendele s'appuie dos à la porte, et manque en conséquence finir sur les dalles de la salle de colle, le battant ayant certes été fermé, mais pas à clé.

"Eh bah 'tain s'pas mon jour..."

Son équilibre retrouvé, l'Hindi contemple la salle un instant avant de jeter son dévolu sur le sol, au fond, dans le coin de la salle. Pas envie de parler à ces cons, pas envie de jouer à leur jeu de merde, et pas du tout envie d'avoir le prof, Daren ou Smok dans son champ de vision...

Avec un dernier coup de manche (désormais plus bordeaux que grise) à l'attention de son nez sanguinolent, Sirendele se traîne donc jusqu'à son coin et, épaule contre le mur, se laisse glisser au sol face à l'autre, yeux fermés, tête appuyée sur son épaule.

Sirendele fronce les sourcils en entendant des pas se rapprocher de lui. Dos à la salle et face au mur, ce n'était donc pas assez pour signifier qu'il n'avait pas envie qu'on l'approche ?

Ah, il s'arrête. Bien bien. Il doit avoir un bon instinct de survie.

...Et mieux, il s'en va ! Oui, très bien ! Continue comme ça, casse-toi, et que les vents portent ton navire loin, trèèèèès loin, et si ledit navire pouvait en profiter pour se ramasser des écueils, prendre feu, chavirer et couler par trois bons milles de fond, ce serait le paradis sur terre...

...Eh bah nan. Il parle.

"Je crois qu'il est grave blessé !"

** Nan, sans blague ! C'a été quoi ton premier indice, le sang, les bleus ou ma tronche de boxeur jeté du ring à coup de siège éjectable propulsé via une baliste ? **

"Il s'est passé quoi ?"

** ...'Tain, mais t'veux une chaise dans la gueule toi aussi ma parole ! **

Sirendele, excédé par la disruption de son calme et sa solitude pour l'instant bien-aimés, rouvre les yeux et tourne brusquement sa tête vers le Gryffondor et les deux Poufsouffles se tenant dans l'entrée.

"Mais TA GUEULE, putain ! J't'emmerde, c'pas ton problème, r'tourn'faire c'putain d'devoir et FOUS MOI LA PAIX !"

L'Hindi se retourne illico face à son mur, murmurant sous sa barbe.

"Chup ke chut hai, chutia..."

Jordan fit son apparition à ce moment là dans la salle. La plupart des autres était déjà arrivée. Il n'était plus vraiment de très bonne humeur, et l'ambiance qui régnait dans la salle n'arrangeait en rien les choses.

Et bah..c'est pas la joie ici. J'espère que ça va pas gueuler comme ça pendant toute l'heure, où je me casse, et tant pis pour l'autre con......En tout cas rassure toi..c’pas moi qui viendra te prendre là tête là…

Il s'avança alors dans la salle et se jeta sur une des premières chaises en s'adossant au mur. Il balaya alors une dernière fois la salle du regard avant d'appuyer sa tête sur sa main, qui était elle même appuyée sur la table.

*Si au moins j'avais mes affaires avec moi...pourquoi il a fallut que j'aille poser mon sac....breeeee*

Jordan n'avait pas trop l'habitude de venir dans cette salle. Il n'avait été que rarement collé, alors il ne savait pas vraiment comment allaient se passer les choses.

J'espère qu'il va pas nous coller du boulot l'autre là...parce que j'ai vraiment pas envie de faire de la chiromachin maintenant...

Jordan n'était pas vraiment un grand adepte de ce cours. Il n'avait jamais réussit à lire quoi que ce soit sur la paume de sa main, et il était au final arrivé à la conclusion que la chiromachin c'était vraiment pas fait pour lui....au même titre que la divination.

Ardael n'avait plus envie de se battre et malgré les propos blessant de jordan il n'allait pas le defoncer pour ça. Il lui jeta neanmoins un regard massacreur mais tout en resta la. Ardael alla a sa place favorite, au fonde la salle, la chaise pres du poele. la meilleure. il balança son sac dessus et attendit vautré sur son siege que le temps passe.

En attendant qu'il se passa quelque chose, il se rememora les derniers evenements en essayant de faire le point. il avait sans aucun doute réagit de façon un peu demesurée avec sirendele. en meme temps il l'avait quand meme bien cherché. oui mais etait ce une raison suffisante pour lui eclater le nez? probablement pas. il aurait du se contenter d'une reprimande orale. La violence est le dernier refuge de l'incompetance... oui il sentait qu'il n'aurait pas du faire ça.

il jeta un coup d'oeil a sirendele. ouais nan, c'est pas le moment de faire quelque chose pur lui. tel un animal acculé il bondirait sur tout ce qui se rapprocherait de lui la. il attendrais un peu pour lui presenter des excuses. en attendant, il croisa les bras et posa ses pieds sur la table. sur deux pieds il se balançait mollement en regardant dans le vague.

il suivit donc les eleves dans le couloirs qui menait a la salle de colle qui etait a exactement quatre portes de la. ils etaient deja tous la. Anraï alla s'assoir sur une chaise de la salle qu'il retourna et s'assit face au dossier, les coudes posés dessus.

il pinça les levres en regardant sa baguette... C'etait bien beau de coller tout ce monde anrai, mais faurais voir a leur donner du taf pour qu'ils s'occupent. hum... de la chiromancie? non ils avaient pas la tete a ça et il n'avait pas envie de leur faire un cours. hum... avaient ils un devoir a faire? surement, il lui semblait qu'anastasia leur avait donné quelque chose mais il n'en etait pas tres sur. Mais la encore, sachant que c'etait tres proche de sa propre matiere il n'avaiat pas envie de devoir leur faire un cours. il avait mieux a faire de son temps libre.

finalement il claqua dans les mains et dit tout simplement :

"bien comme c'est du flagrant delit, je n'ai rien de preparé pour vous faire faire quelque chose en colle, donc occupez vous comme bon vous semble. et je ne veux pas de bazar okay?"

Dans l'univers parallèle où la Terre était la planète la plus belle qui soit, où les cieux étaient cléments, où le soleil brillait jusqu'aux cachots que l'on avait d'ailleurs munis d'une baie vitrée, où Poudlard n'était pas un ancien donjon reconverti en école, où les élèves qui le peuplaient étaient tous unis par un profond sentiment d'amitié transcendant les classes et les maisons, où les professeurs étaient tous bons, généreux et équitables et leurs cours d'un intéret indéniable, où les oiseaux volaient dans le grand ciel bleu et pépiaient joyeusement dans les arbres, tout allait pour le mieux.

Dans cet univers parallèle où tout n'était que bonté et gentillesse, Sirendele, entendant les mots de son très cher camarade Poufsouffle, comprit immédiatement l'infantilité de ses actes, et avec un grand sourire, il se leva, demanda à Lucain de lui pardonner son comportement stupide et se laissa soigner sans rechigner. Puis, pris d'un profond remord et d'un sursaut d'amour fraternel, il s'excusa auprès d'Ardael et du professeur Arashi, et ils se prirent tous dans leurs bras au milieu des regards attendris et des sourires épanouis de tous leurs camarades.

Malheureusement, dans l'univers qui nous intéresse, c'est à dire celui où Sirendele s'était ramassé une colle, puis une porte, puis un prof, puis une main écorchée, puis une autre colle, puis une baffe, puis un poing dans la gueule, puis un nez ouvert, puis encore une autre colle, puis une seconde porte, puis un imbécile de Gryffondor, Sirendele n'avait pas vraiment envie de passer pour un faible ayant besoin d'être soigné devant les trois derniers arrivants.

Et dans l'univers qui nous intéresse, il se contenta donc de tourner la tête vers Lucain, de lui adresser un signe équivoque lui indiquant très clairement l'endroit où il pouvait aller mettre ses scalpels, et se retourna vers le mur pour fermer les yeux à nouveau.

anraï soupira et fit signe de la main a lucain de ne pas insister, ça servait a rien dans l'etat emotionnel du serpentard de lui administrer des soins de force, tout ce qui allait arriver c'etait dans venir aux poings encore une fois.

Puis il se retourna vers daren et sourit.

"Daren, c'est ça? et bien c'est tres simple. Vous etes sanctionnés donc je vous ote la liberté de mouvement. Apres dans vos salles commune, vous trouverez urement quelque chose d'interressant a faire, ne serait ce que de glander sur un fauteuil pendant des heures. Seulement voila. Une heure de colle ça n'est pas sencé etre agreable. donc en vous gardant ici, je vous oblige a vous emmerder dans une salle ou les chaises sont dures, ou la decoration est un supplice pour les yeux, ou la lumiere du jour est abscente, etc. Vous etes en colle pas en sinecure. Mais bon comme je ne suis pas un sadique, je pensais que se serait une bonne chose que cette colle se passe en bonne intelligence et ainsi, vous laisser vous occuper comme bon vous semble une bonne alternative. Mais si vous instez monsieur daren, je peux tres bien vous donner du trvail scolaire a faire, sous la forme d'une annalyse poussée des monts de mars de votre main gauche en trois parchemins. Cela vous tente t il? ou preferez vous vous occuper par vous meme pendant..."

il regarda sa montre

"... Les 57 minutes qui nous restent encore a faire?"

il lui sourit .

Sonia, elle, ignora superbement Sirendele qui visiblement ne demandait que ça et de toute façon elle ne repondrait d'aucune maniere a quelqu'un qui manque de respect de cette façon a Lucain...

Alors, elle commença a trouver de quoi sincerement s'occuper. Elle avait toujours étét fascinée par les instrument de lucain et revait de dissequer un lethifold avec... Raaaaah le bonheur... Si ces yeux avait pu se transformer en coeurs rouges comme dans les dessins animés qu'elle regardait quand elle était petite a la télé et qu'elle regarde toujours d'ailleurs une fois les vacances arrivées et qu'elle rentre chez elle, ils l'auraient certianment fait en cet instant.

Elle grimpa sur une chaise puis sur la table ou elle s'assit en tailleur. Elle remonta une de ses manches jusqu'au coude pour degager sa main. Elle saisit alors un scalpel et l'examina avant de le reposer pour en prendre un autre. Elle voulait tellement les observer qu'elle les approchait un peu trop pres de son nez ce qui la faisait loucher. elle continua sn manege avec encore un ou deux instrument avant de trouver le jeu de mille mort en vrac dans la sacoche de l'infirmier. Elle le prit dans ses mains et machinalement battit les cartes bruyamant en regardant Daren...

*que va t il repondre a ça ? *

En voyant la tete de Simon et en entendant sa reponse tardive, le professeur ne put retenir un sourire amusé, un rien narquois. Comment resister au plaisir de savourer la tete d'un elee scotché au point d'en faire un poisson bulle humain...? Il joua avec le percing de sa langue quelques secondes. Puis il se mit a reflechir a ce que lui disait l'eleve daren de façon plus approfondie. Anraï se frotta alors le menton entre son index et son pouce droit. il prit une expression pensive et regarda vers le plafond comme si celui ci relevait d'un interet profond. D'une voix egale il dit alors :

"Je nourrissais encore quelques doutes a votre egard Monsieur Daren, il faut dire que votre plus qu'extraordinaire assiduité a mon cours, pourtant fortement interressant, ne m'a pas permis et c'est bien dommage, je vous l'accorde, de vous connaitre plus en profondeur et que ce n'est pas avec les maigres rapports que m'ont fait vos gentils camarades de classe, quand ils ont l'extreme obligeance de bien vouloir les faire, que cela m'eut permis de le faire d'une quelconque maniere... Enfin bref... des doutes donc, mais je viens, grace a vous meme, monsieur daren et grace a dieu s'il existe, de recevoir confirmation a toutes mes interrogations si nombreuses furent elles. Votre sens de la repartie, votre insolence crasse et vos propos provocateurs ne font qu'enterrinner ce que je pensais d'ors et deja de votre personne. Et malheureusement, meme s'il ne s'agit la que de mon devoir d'enseignant et d'etre humain, je dois vous dire une chose monsieur Daren..."

Anraï baissa la main et posa les coudes sur le dossier de la chaise, doigts entremélés et regarda Daren dans les yeux, l'air serieux, comme s'il lui annonçait une nouvelle effroyable. Il dit alors d'un ton navré mais affirmatif :

"Vous etes definitivement et irremediablement un cretin."

Sur ces entrefaites, le directeur de l'école pénétra dans la salle de colle. Il avait trouvé que c'était ici que se trouvait l'élève qu'il cherchait. Il balaya la salle du regard avant que ce dernier ne se pose sur son préfet en chef de Serpentard, Ardael Smok. Il soupira, il avait une mine grave.

"M. Smok, j'ai à vous parler tout de suite, cela ne peut souffrir de délais. Suivez moi dans mon bureau. Vous ferez votre heure de retenue plus tard puisque je suppose que vous êtes collé. Prenez vos affaires avec vous."

Il se retourna après vers le Professeur Anraï.

"Professeur, je vous l'empreinte pour une durée indéterminée, il se peut que cette retenue soit reportée dans relativement longtemps. Je vous en aviserais."

Sur ce, il attendit qu'Ardael obtempère puis sortit de la salle pour remonter à son bureau.

La mauvaise humeur d'Ardael commençait a passer et il se rendait bien compte de la stupidité de son acte meme si a chaud il n'avait pas vraiment reflechit. Il s'amusait a present de la joute orale que se livraient Anrai et Daren. ça promettait de finir en pugilat cette histoire. Finalement, Arashi allait peut etre s'emporter et dire quelque chose qu'il ne faudrait pas et annulerait la colle. On peut toujours esperer...

A l'entrée de Dumbledore dans la salle, Ardael se remit directement en position normale, reposant ses pieds par terre. On respecte la hierarchie que diable. En plus Dumbledore n'avait pas l'air aussi souriant que d'ordinaire.

En attendant l'ordre de Dumbledore, Ardael palit. Il ne savait comment cette histoire de bagarre avait deja pu remonter jusqu'aux oreilles du vieux directeur. Il se leva lentement en se penchant en avant. De la main gauche, il caressa legerement son insigne prefectoral sur sa poitrine en deglutissant silencieusement. il prit son sac et le mit sur son epaule. Sa main tremblait legerement.

"Bien monsieur le directeur."

Quittant sa place, il se dirigea lentement vers la porte. En chemin, il s'arreta devant le professeur de chiromancie et baissant la tete:

"Veuillez m'excuser je dois m'en aller."

Puis sans regarder les autres, il releva la tete et partit dans le couloir d'une demarche plus normale. Il ne fallait pas perdre la face avant meme de savoir ce qui allait reelement se passer. Une fois dans le couloir, une fois que plus personne ne put le regarder, il reporta la main a son insigne et pinça les levres. Mais quel imbecile avait il été...

Sirendele, malgré ses airs de gosse vexé (qu'il était) piquant une crise d'adolescence (ce qu'il faisait) pour une raison sans aucun doute stupide (et elle l'était) et balançant à tout va des accusations qu'il regretterait plus tard (il commençait déjà, mais vous pouvez vous lever tôt pour qu'il vous l'admette), prêtait tout de même un tant soit peu attention à son entourage en dépit de son dos tourné et de ses yeux fermés.

D'ailleurs il était actuellement en plein débat intérieur au sujet de son pseudo-camarade-traître Simon Daren et cet enfoiré de professeur qui les avait tous foutus en colle. Qui était-il censé soutenir, Daren par solidarité et par amitié en dépit de son évidente prise de parti pour Ardael, ou le professeur car il enfonçait Simon et lui offrait une revanche malgré le fait que tout ce bordel soit entièrement de sa faute ?

Sa réflexion se voit cependant interrompue par l'arrivée du directeur dans la salle de retenue. Bah tiens. Manquait plus que lui !

...Ah tiens, il veut voir Ardael.

Sirendele ne peut retenir sourire. YES. Nyark, prends ça dans ta gueule, Smok ! Fais-toi engueuler, faux ami, sale traître, préfet indigne ! Chacun son tour !

...

...Hey, mais ils se cassent ! Et sans gueuler en plus ! Et c'est quoi cette histoire de colle reportée ?!

Daignant enfin rouvrir ses yeux, Sirendele dévisage littéralement Ardael et le directeur alors qu'ils quittent la salle, sidéré. C'est quoi ce délire ?! Smok lui éclate la tronche et il est dispensé de retenue ?! Fronçant les sourcils et l'air franchement en colère, Sirendele se relève, toute sa rage à moitié partie de retour en un instant, et jette un regard accusateur au professeur occupé à prendre Simon à parti.

"Hey mais c'quoi c'délire ? Smok y rest'en colle 'tain, z'avez vu ma tête ? C'quoi c'trip du gars qu'il éclate un d'ses potes et qu'on l'laisse s'barrer tranquille ? Y'en a marre, 'tain, du trait'ment d'faveur dans c'bahut ! J'en ai ma claque d'vos con'ries ! Moi ma seule faute c'me trouver dans l'mauvais coin au mauvais m'ment, j'me prends quoi ? Trois heures ! Et lui là, y m'frappe, déjà y prend qu'une heure, et en plus on la lui annule à c't'enfoiré ?"

Arashi poussa un soupir. Decidement etre prof n'etait pas toujours un plaisir. Il s'appretait a repondre mollement a daren, car son insolence commençait serieusement a le lasser. Dumbledore arriva sur ces entrefaites. Arashi ne dis rien au directeur se contentant de hocher la tete montrant au directeur qu'il ne voyait aucune objection au depart d'ardael. Puis il leva le pouce en direction du directeur pour lui signifier que le report de la colle n'etait pas un probleme.

Il se contentant egalement d'un simple signe de tete quand ardael s'excusa aupres de lui. Il avait bien vu la mine inquiete de son protegé. mais qu'y pouvait il? il etait nouveau professeur et l'attitude d'ardael etait assez inexcusable... Il avait neanmoins un mauvais presentiment. Il le regarda partir sans rien dire et baissa la tete pensivement.

Sur ce l'interrompit sirendele dans ses reflexions. Arashi ouvrit la bouche pour repondre mais daren le devança. Arashi etait assez d'accord avec ce que disait le serpentard. il rajouta meme pensivement...

" Monsieur Daren, ne vous glorifiez pas de ce genre d'exploits. Il est heureux pour vous que ce ne soit pas ma consoeur de botanique qui ait tenu cette coll, vous auriez fini ficellé au saule cogneur. C'est un de ces grands classiques a ce qu'on m'a dit. mais bref... Je suis d'accord avec vous sur le fait que votre prefet risque gros. N'empeche que je me demande une chose... Si jamais Monsieur Smok etait dechu de ses fonctions, qui est ce qui serait nommé prefet en chef a sa place...?"

Arashi leva les yeux et regarda un coin du mur en reflechissant...